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Bilan de la qualité de l’air en Auvergne-Rhône-Alpes 2021.
2022
Santé
Organismes Producteurs
- Atmo Auvergne-Rhône-Alpes
Résumé
Ce bilan confirme l'amélioration de la qualité de l'air sur ces dix dernières années mais rappelle l'importance de poursuivre les efforts, dans un contexte où l'air est au centre de multiples enjeux sociétaux.
Coté pollution chronique, l'année 2021 confirme la tendance à l'amélioration de la qualité de l'air dans notre région. Depuis 2007, les principaux polluants suivis par la réglementation sont en baisse :
- 43 % pour le dioxyde d'azote (NO 2), polluant traceur du trafic routier.
- 47 % pour les particules PM10 et -62 % pour les particules fines PM2,5 émises en grande partie par le chauffage au bois non performant et dans une moindre mesure par l'industrie et l'agriculture.
L'ozone, polluant estival fortement dépendant des températures et de l'ensoleillement, est le seul en augmentation sur cette période (+6%).
L'été 2021 ayant été globalement frais et pluvieux, la formation d'ozone a été moindre que sur des années antérieures caractérisées par de fortes chaleurs estivales.
Les concentrations moyennes sur l'année 2021 sont revenues aux niveaux d'avant 2015. Toutefois, la réglementation faisant référence à une moyenne sur 3 années (2019/2021), les départements de la Drôme, de l'Ardèche,
de l'Isère et du Rhône, observent encore des dépassements des seuils réglementaires. Coté « pic de pollution », avec 25 jours de vigilances pollution recensés en 2021, la tendance à la baisse observée depuis de nombreuses années se confirme. Cette baisse s'explique en premier lieu par une diminution continue des émissions de polluants dans l'air ambiant, tous secteurs d'activité confondus.
Coté pollution chronique, l'année 2021 confirme la tendance à l'amélioration de la qualité de l'air dans notre région. Depuis 2007, les principaux polluants suivis par la réglementation sont en baisse :
- 43 % pour le dioxyde d'azote (NO 2), polluant traceur du trafic routier.
- 47 % pour les particules PM10 et -62 % pour les particules fines PM2,5 émises en grande partie par le chauffage au bois non performant et dans une moindre mesure par l'industrie et l'agriculture.
L'ozone, polluant estival fortement dépendant des températures et de l'ensoleillement, est le seul en augmentation sur cette période (+6%).
L'été 2021 ayant été globalement frais et pluvieux, la formation d'ozone a été moindre que sur des années antérieures caractérisées par de fortes chaleurs estivales.
Les concentrations moyennes sur l'année 2021 sont revenues aux niveaux d'avant 2015. Toutefois, la réglementation faisant référence à une moyenne sur 3 années (2019/2021), les départements de la Drôme, de l'Ardèche,
de l'Isère et du Rhône, observent encore des dépassements des seuils réglementaires. Coté « pic de pollution », avec 25 jours de vigilances pollution recensés en 2021, la tendance à la baisse observée depuis de nombreuses années se confirme. Cette baisse s'explique en premier lieu par une diminution continue des émissions de polluants dans l'air ambiant, tous secteurs d'activité confondus.
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