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Bilan de qualité de l’air en 2016. Région Auvergne-Rhône-Alpes.
2017
Santé
Organismes Producteurs
- Atmo Auvergne-Rhône-Alpes
Résumé
L’année 2015 semblait montrer une légère remontée des niveaux par rapport aux années précédentes et particulièrement par rapport à 2014 : au vu des résultats de 2016, il s’avère que l’année 2014 a été caractérisée par des concentrations exceptionnellement basses et que la tendance globale à l’amélioration de la qualité de l’air depuis 10 ans se confirme.
Les niveaux de concentrations de la majorité des polluants sont en diminution mais la variation est plus marquée pour certains composés.
L’ozone (O3) est le seul polluant dont la situation reste globalement stable, sans réelle hausse ni réelle baisse.
Les particules (PM10 et PM2.5) ainsi que le dioxyde d’azote (NO2) diminuent régulièrement, les particules très fines (PM2.5) observant la meilleure progression.
Quant au benzo(a)pyrène (B(a)P), les valeurs semblent faibles (de plus exprimées en ng/m3) mais la baisse des concentrations est réelle et révélatrice d’une nette amélioration de la qualité de l’air, compte tenu d’une valeur réglementaire à 1 ng/m3.
Le dioxyde de soufre (SO2) et le benzène (Benz) observent des niveaux faibles depuis 10 ans : les variations de ces dernières années ne doivent pas aboutir à d’autres interprétations que celle d’observer des niveaux sans enjeux.
Les niveaux de concentrations de la majorité des polluants sont en diminution mais la variation est plus marquée pour certains composés.
L’ozone (O3) est le seul polluant dont la situation reste globalement stable, sans réelle hausse ni réelle baisse.
Les particules (PM10 et PM2.5) ainsi que le dioxyde d’azote (NO2) diminuent régulièrement, les particules très fines (PM2.5) observant la meilleure progression.
Quant au benzo(a)pyrène (B(a)P), les valeurs semblent faibles (de plus exprimées en ng/m3) mais la baisse des concentrations est réelle et révélatrice d’une nette amélioration de la qualité de l’air, compte tenu d’une valeur réglementaire à 1 ng/m3.
Le dioxyde de soufre (SO2) et le benzène (Benz) observent des niveaux faibles depuis 10 ans : les variations de ces dernières années ne doivent pas aboutir à d’autres interprétations que celle d’observer des niveaux sans enjeux.
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