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Dépistage de l’hépatite C par les médecins généralistes en Rhône-Alpes.
2006
Santé
Auteurs Physiques
- FANTINO (B.)
- OLAYA (E.)
- BARBEDIENNE (P.)
- GRANET (G.)
- PUECH (N.)
Organismes Producteurs
- Association pour le Développement de l'Information Médicale (ADIM)
Organismes Commanditaires
- Union Régionale des Médecins Libéraux Rhône-Alpes (URML Rhône-Alpes) *
Résumé
Alors que bien d’autres actions de dépistage font désormais partie de la pratique courante de la médecine générale, celle qui concerne l’Hépatite C peine à se développer.Si les médecins généralistes interrogés identifient à l’unanimité (100%) l’hépatite C comme une maladie grave, à potentiel évolutif sévère, mais à laquelle on peut proposer un traitement efficace (90,50% de médecins interrogés), plus de 60% d’entre eux sont insatisfaits de leur rôle dans ce domaine de la prévention. L’étude actuelle met en évidence une connaissance imparfaite des situations à risque d’exposition au virus d’hépatite C. Certains facteurs de risque connus du patient sont fortement sous estimés par le médecin généraliste de même que les critères décisionnels à l’initiative du traitement. Il apparaît donc nécessaire de reprendre la communication sur ces thèmes, peut-être sur des modèles différents de ceux utilisés jusqu’à présent.
Accès à l'étude