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Une majorité d’étudiants en bonne santé mais certains en grande fragilité. Observatoire de la Santé des Étudiants de Grenoble.
2019
Santé
Organismes Producteurs
- Université de Grenoble
Résumé
Cette nouvelle enquête de l’OSEG a été réalisée en ligne, par questionnaire auto-administré, entre octobre et décembre 2018 auprès d’étudiants inscrits en première année à l’Université Grenoble Alpes, Grenoble INP ou Sciences Po Grenoble (à Grenoble ou Valence). Pour la première fois, les étudiants de l’UFR de Médecine étaient inclus dans l’enquête. Au total 2 305 questionnaires ont été validés soit un taux de réponses de 31%.
Cette enquête marque un changement de méthodologie par rapport aux précédentes enquêtes sur les étudiants de première année, jusqu’à présent réalisées au moment de l’inscription dans l’enseignement supérieur.
Elle confirme une fois encore la bonne santé générale des étudiants de première année.
Toutefois, elle met également en évidence un groupe d’étudiants plus fragiles que les autres d’un point de vue social, économique et/ou psychique. Ces étudiants, représentant près d’un quart des inscrits, se perçoivent en moins bonne santé que les autres, tant sur le plan physique que moral, et présentent une moins bonne hygiène de vie (privation de sommeil plus importante, pas de sport, alimentation moins équilibrée).
L’enquête révèle par ailleurs de fortes disparités de certains comportements de santé selon l’établissement, le type de cursus ou encore le domaine d’études.
Compte tenu de la population interrogée et de la période de l’enquête, on ne peut pas considérer qu’il y ait une influence de l’université sur ces comportements mais il sera important de suivre leurs évolutions et de développer des actions de prévention ciblées.
Cette enquête marque un changement de méthodologie par rapport aux précédentes enquêtes sur les étudiants de première année, jusqu’à présent réalisées au moment de l’inscription dans l’enseignement supérieur.
Elle confirme une fois encore la bonne santé générale des étudiants de première année.
Toutefois, elle met également en évidence un groupe d’étudiants plus fragiles que les autres d’un point de vue social, économique et/ou psychique. Ces étudiants, représentant près d’un quart des inscrits, se perçoivent en moins bonne santé que les autres, tant sur le plan physique que moral, et présentent une moins bonne hygiène de vie (privation de sommeil plus importante, pas de sport, alimentation moins équilibrée).
L’enquête révèle par ailleurs de fortes disparités de certains comportements de santé selon l’établissement, le type de cursus ou encore le domaine d’études.
Compte tenu de la population interrogée et de la période de l’enquête, on ne peut pas considérer qu’il y ait une influence de l’université sur ces comportements mais il sera important de suivre leurs évolutions et de développer des actions de prévention ciblées.
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