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Observatoire des Particules Ultra Fines atmosphériques en Rhône-Alpes. Premiers résultats sur l’agglomération grenobloise (2012-2014).

2016
Santé
Organismes Producteurs
  • Air Rhône-Alpes*
Résumé
Parmi les polluants surveillés par Air Rhône-Alpes, les particules en suspension sont particulièrement problématiques. En effet, outre leurs effets sanitaires avérés, des dépassements réglementaires sont régulièrement constatés tant sur les grandes agglomérations qu’en zones alpines ou rurales.
Les valeurs fixées par les réglementations actuelles pour les particules en suspension se réfèrent essentiellement à leurs concentrations massiques (mesurées en microgrammes par mètre cube). Cependant, de plus en plus, la communauté scientifique européenne et diverses études toxicologiques et épidémiologiques mettent en évidence l’importance de considérer d’autres paramètres, comme le nombre, la taille, la forme ou encore la composition chimique des aérosols, pour permettre d’améliorer la compréhension de la toxicité des particules submicroniques ou pour étudier leurs impacts climatiques.
C’est dans ce contexte qu’Air Rhône-Alpes a investi à partir de 2011-2012 le champ des « Particules Ultra Fines » (PUF) avec pour premier objectif d’améliorer les connaissances sur les aérosols atmosphériques de taille submicronique et au final de pérenniser les mesures pour créer le premier « Observatoire des Particules Ultra Fines » sur la région Rhône-Alpes.
Le présent rapport s’articule donc en 2 grandes parties avec, en premier lieu, un état de l’art des connaissances sur les particules ultrafines issu des travaux menés entre 2011 et 2012, puis une présentation des résultats des campagnes de mesure réalisées sur l’agglomération grenobloise entre 2012 et 2014.
Accès à l'étude
*L'astérisque indique les organismes ayant changé de dénomination ou ayant cessé leur activité.


Pour compléter ces informations, n'hésitez pas à interroger également la partie Indicateurs et Répertoires