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Pollution de l’air dans les écoles : état des lieux de la pollution atmosphérique aux abords des établissements scolaires en Auvergne Rhône-Alpes (2015-2019).
2022
Santé
Organismes Producteurs
- Association RESPIRE
Résumé
L’association RESPIRE a étudié les niveaux de pollution aux abords des établissements scolaires en région Auvergne Rhône-Alpes en 2015 (6 311 établissements) et en 2019 (7 970 établissements). Elle les a ensuite comparés aux nouvelles recommandations de l’OMS sur une carte en ligne.
L’étude montre que, malgré une baisse globale des niveaux de pollution sur l’ensemble des polluants, une grande majorité d’établissements souffrent de dépassements annuels des recommandations de l’OMS sur les polluants les plus dangereux pour la santé que sont les particules fines (PM2,5) et le dioxyde d’azote (NO2). Près de 75 % et 63 % des établissements sont concernés respectivement pour les PM2,5 et le NO2.
La dynamique d’évolution dans les grandes villes est similaire à ce qu’on observe au niveau régional. Les concentrations moyennes de polluants diminuent à Lyon, Chambéry, Grenoble et Annecy, mais 100 % des établissements dépassent les seuils de l’OMS sur les PM2,5 et le NO2 dans ces 4 villes. Dans la ville de Lyon, les concentrations moyennes de particules fines et de dioxyde d’azote représentent plus du double des seuils recommandés par l’OMS.
L’étude montre que, malgré une baisse globale des niveaux de pollution sur l’ensemble des polluants, une grande majorité d’établissements souffrent de dépassements annuels des recommandations de l’OMS sur les polluants les plus dangereux pour la santé que sont les particules fines (PM2,5) et le dioxyde d’azote (NO2). Près de 75 % et 63 % des établissements sont concernés respectivement pour les PM2,5 et le NO2.
La dynamique d’évolution dans les grandes villes est similaire à ce qu’on observe au niveau régional. Les concentrations moyennes de polluants diminuent à Lyon, Chambéry, Grenoble et Annecy, mais 100 % des établissements dépassent les seuils de l’OMS sur les PM2,5 et le NO2 dans ces 4 villes. Dans la ville de Lyon, les concentrations moyennes de particules fines et de dioxyde d’azote représentent plus du double des seuils recommandés par l’OMS.
Accès à l'étude