Pieros

Cette nouvelle enquête a été réalisée en ligne par questionnaire auto-administré, entre octobre et décembre 2019, auprès d’étudiants inscrits en deuxième année dans l’enseignement supérieur au sein de l’Université Grenoble Alpes (en licence ou DUT) et Grenoble INP (classe préparatoire intégrée). Au moment de l’enquête, les étudiants de Sciences Po Grenoble réalisaient leur semestre à l’étranger, ils n’ont donc pas été inclus dans l’échantillon. 1 180 questionnaires ont été validés, soit un taux de réponses de 20%.
Cette nouvelle enquête de l’OSEG confirme la bonne santé générale d’une grande majorité des étudiants grenoblois de 2e année.
Mais elle permet également de mettre évidence un groupe d’étudiants plus fragilisés,en situation de précarité sociale et exprimant souvent des signes de détresse psychologique.
Cette enquête illustre encore une fois que la souffrance psychique est fortement liée à la santé physique. Les étudiants présentant des signes de mal-être se sentent en moins bonne santé, mangent de façon moins équilibrée, se privent davantage de sommeil, ont moins d’activité physique et renoncent plus aux soins que les autres. Cela accentue encore l’importance d’agir en faveur de la santé mentale des étudiants.