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La stratégie de lutte contre les cancers en Auvergne-Rhône-Alpes. Feuille de route 2022-2025.
2022
Santé
Organismes Producteurs
- Agence régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes (ARS Auvergne-Rhône-Alpes)
Résumé
Sur la base d’un diagnostic régional Cancers, l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes décline la stratégie décennale sur son territoire suivant 5 priorités d’actions pour réduire les inégalités territoriales :
- Mener une politique intégrée et territorialisée de prévention primaire des cancers ciblée par public : poursuite des actions de prévention des addictions, alimentation et activité physique, et développement privilégié de trois axes d’intervention : intégration de l’alcool, prévention santé-environnement, vaccination anti-papillomavirus humains (HPV) : amorcer le « virage préventif ».
- Améliorer la détection des cancers via les dépistages des personnes à hauts risques et les dépistages organisés le plus tôt possible, plus particulièrement à destination des publics vulnérables et ciblée selon les territoires.
- Favoriser des parcours cancer personnalisés, fluides et coordonnés hôpital-ville avec les acteurs de santé et le secteur médico-social en intégrant notamment l’organisation territorialisée de l’accès aux soins de support pendant et après le cancer, le développement de la prise en charge en ville (Hospitalisation à domicile - HAD) et en ambulatoire (chronicisation des cancers) : conforter le « virage ambulatoire ».
- Mieux prendre en compte les parcours complexes des personnes âgées, des enfants et Adolescents et jeunes adultes (AJA), des personnes vulnérables et pour les cancers du poumon, ovaire et pancréas.
- Faciliter l’accès de tous les patients aux innovations thérapeutiques, organisationnelles, technologies de pointe et d’excellence, notamment via la e-santé.
Ces 5 priorités d’actions se déclinent en :
- 1 action prioritaire : agir sur « l’Arc de défaveur Cancers » ;
- 15 actions sur les 85 actions susceptibles de déclinaison régionale de la stratégie décennale de lutte contre les cancers ;
- la mise en place ou la poursuite des actions, dispositifs et outils structurants d’amélioration de la qualité de l’offre et des parcours ;
- la mise en œuvre de la réforme des autorisations du traitement du cancer qui aura un impact réel sur l’offre de soins.
- Mener une politique intégrée et territorialisée de prévention primaire des cancers ciblée par public : poursuite des actions de prévention des addictions, alimentation et activité physique, et développement privilégié de trois axes d’intervention : intégration de l’alcool, prévention santé-environnement, vaccination anti-papillomavirus humains (HPV) : amorcer le « virage préventif ».
- Améliorer la détection des cancers via les dépistages des personnes à hauts risques et les dépistages organisés le plus tôt possible, plus particulièrement à destination des publics vulnérables et ciblée selon les territoires.
- Favoriser des parcours cancer personnalisés, fluides et coordonnés hôpital-ville avec les acteurs de santé et le secteur médico-social en intégrant notamment l’organisation territorialisée de l’accès aux soins de support pendant et après le cancer, le développement de la prise en charge en ville (Hospitalisation à domicile - HAD) et en ambulatoire (chronicisation des cancers) : conforter le « virage ambulatoire ».
- Mieux prendre en compte les parcours complexes des personnes âgées, des enfants et Adolescents et jeunes adultes (AJA), des personnes vulnérables et pour les cancers du poumon, ovaire et pancréas.
- Faciliter l’accès de tous les patients aux innovations thérapeutiques, organisationnelles, technologies de pointe et d’excellence, notamment via la e-santé.
Ces 5 priorités d’actions se déclinent en :
- 1 action prioritaire : agir sur « l’Arc de défaveur Cancers » ;
- 15 actions sur les 85 actions susceptibles de déclinaison régionale de la stratégie décennale de lutte contre les cancers ;
- la mise en place ou la poursuite des actions, dispositifs et outils structurants d’amélioration de la qualité de l’offre et des parcours ;
- la mise en œuvre de la réforme des autorisations du traitement du cancer qui aura un impact réel sur l’offre de soins.
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