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Suivi de la qualité de l’air dans le métro lyonnais.
2022
Santé
Auteurs Physiques
- BOUCHENNA (F.)
Organismes Producteurs
- Atmo Auvergne-Rhône-Alpes
Résumé
La surveillance de la qualité de l’air ambiant sur la région est une mission réglementaire confiée à Atmo Auvergne-Rhône-Alpes (Atmo AuRA) par le Ministère en charge de l’Environnement. Au-delà de cette mission, l’observatoire accompagne ses membres et les territoires dans le développement de travaux en lien avec les problématiques et enjeux régionaux, toujours guidé par les objectifs d’information et de protection de la santé des populations.
Historiquement, Atmo AuRA a déjà travaillé sur la surveillance de la qualité de l’air dans les environnements souterrains : en 2002, lors d’une étude avec SYTRAL Mobilités dans le métro lyonnais et en 2010 dans les parkings souterrains lyonnais en partenariat avec Lyon Parc Auto.
Avec l’appui technique de l’INERIS (expert public pour la maîtrise des risques environnementaux), le ministère en charge de l’écologie a piloté un groupe de travail sur la définition d’un protocole de mesure harmonisé de la qualité de l’air dans les Enceintes Ferroviaires Souterraines (EFS) afin de fixer les méthodes les plus adaptées au cas des usagers de ces transports. Ce travail avait pour objectif de permettre à tous les acteurs d’acquérir des données à travers des campagnes de mesures ponctuelles selon un référentiel commun. Quatre opérateurs ferroviaires volontaires, dont Keolis Lyon, ont collaboré à ces travaux et participé à des expérimentations sur tout ou partie du protocole.
Historiquement, Atmo AuRA a déjà travaillé sur la surveillance de la qualité de l’air dans les environnements souterrains : en 2002, lors d’une étude avec SYTRAL Mobilités dans le métro lyonnais et en 2010 dans les parkings souterrains lyonnais en partenariat avec Lyon Parc Auto.
Avec l’appui technique de l’INERIS (expert public pour la maîtrise des risques environnementaux), le ministère en charge de l’écologie a piloté un groupe de travail sur la définition d’un protocole de mesure harmonisé de la qualité de l’air dans les Enceintes Ferroviaires Souterraines (EFS) afin de fixer les méthodes les plus adaptées au cas des usagers de ces transports. Ce travail avait pour objectif de permettre à tous les acteurs d’acquérir des données à travers des campagnes de mesures ponctuelles selon un référentiel commun. Quatre opérateurs ferroviaires volontaires, dont Keolis Lyon, ont collaboré à ces travaux et participé à des expérimentations sur tout ou partie du protocole.
Accès à l'étude